41wAz6iDiRL._SX322_BO1,204,203,200_.jpg

About the book

Dans La dette odieuse de l'Afrique, Boyce et Ndikumana revelent le fait choquant que, contrairement a la perception populaire comme quoi l'Afrique ponctionne les ressources financieres de l'Occident, le continent est en fait un creancier net du reste du monde. Le volume de la fuite des capitaux de l'Afrique est remarquable : plus de 700 milliards de dollars au cours des quatre dernieres decennies. Toutefois, les actifs de l'Afrique detenus a l'etranger sont prives et caches tandis que ses dettes exterieures sont publiques, dues par les peuples africains a travers leurs gouvernements. Leonce Ndikumana et James K. Boyce demasquent les liens intimes entre les prets etrangers et la fuite des capitaux. Plus de la moitie de l'argent emprunte par les gouvernements africains dans les dernieres decennies a " fuit " dans la meme annee, une partie importante etant deposee dans des comptes prives dans les memes banques qui ont fourni les prets. Entre-temps, le service de la dette continue a drainer les ressources rares de l'Afrique, reduisant ainsi les fonds disponibles pour la sante publique et d'autres besoins de base. De facon provocatrice, les auteurs proposent que les gouvernements africains devraient repudier ces " dettes odieuses " dont leur peuple n'a tire aucun avantage et que la communaute internationale devrait aider dans cet effort. Un livre indispensable pour quiconque s'interesse a l'Afrique, son avenir et ses relations avec l'Occident.


Achat chez les revendeurs en ligne suivants:

Amazon Africavivre Amalion Publishing


éloge pour La dette odieuse de l’Afrique

« Un ouvrage d’avant-garde qui devrait être lu par tous soucieux de l’Afrique. D’une manière magistrale, mais facilement compréhensible et approfondie, les auteurs démolissent le mythe selon lequel les pays africains ont reçu d’importants flux nets de capitaux étrangers. Ce livre devrait modifier radicalement la pensée et la politique. »

– John Weeks, Universitéde Londres

« Cette analyse-choc révèle que, de tous les emprunts contractés par les États africains au cours des 50 dernières années, plus de la moitié des fonds repartent à l’étranger et se retrouvent dans des comptes bancaires privés et secrets par le biais de diverses méthodes de blanchiment pour dissimuler la provenance et même l’existence de cet “argent sale”. Voilà pourquoi le combat contre le blanchiment d’argent est si important, et pourquoi toutes les parties prenantes concernées doivent s’unir pour arrêter cette saignée et retenir ces fonds pour qu’ils puissent contribuer au développement et au bien-être des populations africaines. Je recommande vivement à tous de lire ce livre et de s’impliquer à fond dans la transformation future de nos pays et de notre continent. »

– Abdullahi Y. Shehu, Directeur général, Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d’argent enAfrique de l’Ouest.